Un mythe, ce n’est pas un mensonge. C’est un récit fondateur, une parole sacrée qui tente d’expliquer ce que la raison seule ne suffit pas à dire.
Avant la science, avant l’histoire, le mythe raconte les origines : du monde, des dieux, des hommes, du mal, du feu, de la mort, du langage.
Chaque civilisation a ses mythes — grecs, égyptiens, nordiques, hindous, autochtones — mais tous répondent aux mêmes vertiges :
d’où venons-nous ? que faisons-nous ici ? et que signifie exister ?
À la croisée de la poésie, de la mémoire et du sacré, le mythe est un miroir ancien tendu à nos consciences modernes.
Il ne dit pas ce qui est, mais ce qui fonde ce qui est.
Grèce antique

Entre dieux capricieux et récits fondateurs, la mythologie grecque interroge l’origine du monde, le destin des hommes, la justice des dieux. Arcadya explore ces récits comme autant de miroirs de notre humanité.
Égypte antique

L’Égypte mythologique est un royaume d’équilibres fragiles : entre ordre cosmique et chaos rampant, dieux zoomorphes et rituels sacrés. Ici, le mythe est une architecture du monde — et du sacré.
Mythologies nordiques

Brume, glace et feu. Les dieux nordiques naissent dans le fracas, vivent dans la tension, meurent au Ragnarök. Arcadya remonte aux racines d’Yggdrasil pour déchiffrer les secrets de l’ancien Nord.